"Christine Albanel avait ouvert la voie de la création contemporaine à Versailles. Jean-Jacques Aillagon l'a imposée avec passion", a-t-elle déclaré. On se souvient du homard de Jeff Koons: Christine Pégard reste dans la nasse. Elle adhère à cette "orientation art contemporain" que le petit père Aillagon avait su imposer au Château. Versailles pourra continuer à être la risée du monde.
Catherine Pégard se justifie, comme toute personne qui se sent coupable: "Nous devons approfondir dans les prochaines expositions, la présence de l'art contemporain, dans un rapport constructif avec le patrimoine historique. Les artistes ne viendront pas à Versailles mais pour Versailles."
Après ces belles réflexions, d'un coup, la directrice a perdu la tête. Elle s'est mise à tenir des propos réactionnaires.
"Il me semble que nous sommes arrivés aujourd'hui à la fin d'un cycle. Nous le sentons désormais peu à peu, la présence de l'art contemporain, j'oserai dire, s'y banalise, comme dans tous les musées du monde."
Elle a même proféré cette insanité : "Il est temps d'ouvrir une autre période, avec une vision plus en
lien avec le patrimoine."
Une déclaration scandaleuse, à laquelle répondront bien vite les associations de défense des droits de l'homme.
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