Chacun se souvient de la prise de Palmyre par les soldats de l’État Islamique et de son cortège d’executions sommaires et autres actes de tortures sadiques. Non contents de semer la désolation parmi les habitants, les jihadistes se sont aussi fait remarquer par le saccage et le pillage des richesses culturelles et artistiques de la cité antique.
Le commerce de ces joyaux serait une de leurs principales ressources financières. Mais Il ne s’agit ici que d’un exemple parmi d’autres ! Ce genre de trafic serait même le troisième mondial en terme de volumes financiers, après les armes et la drogue ! Arte diffuse ce mardi un documentaire exhaustif sur le trafic d’art dans le monde écrit par Tania Rakhmanova avec la collaboration d’Emmanuel Fansten. Un reportage à ne pas manquer pour appréhender l’ampleur des forces en jeu.
L’art a vraisemblablement besoin de « sauveurs » aussi bien dans les ateliers que sur le terrain, en tenue de combat.