Du slam contre l’anart !

Né à Machhad, dans la province du Khorassan iranien, en 1952, Reza Afchar Nadéri est venu pour la première fois en France à l’âge de 5 ans. Il y apprend le français comme une « deuxième langue maternelle ». En avril 211, il créé un slam sur les événements qui ont suivi l’exposition à Avignon de l’oeuvre Piss Christ, d’Andres Serrano.

Il obtient la nationalité française alors qu’il a déjà mis un pied dans la presse. Outre sa collaboration à des magazines régionaux français il a travaillé pour de nombreuses publications dédiées au voyage, en France et à l’étranger, comme : Voyage, Balades, Trek Magazine, Escape, Vivre l’Aventure, La Marche, Bon Voyage.
Mais aussi pour la presse généraliste : Voici, Gala, Nous deux, L’Humanité Dimanche, La Tribune, La Croix, Reader’s Digest.

Parallèlement, il a publié de nombreux poèmes dans des revues aussi diverses que Commune, Le Temps des cerises, Faites entrer l’infini (association Louis Aragon) ou Les Cahiers du sens, et traduit aussi bien le poète persan contemporain Ahmad Chamlu que les grands poètes classiques comme Khayyâm et Hâfiz.

Reza Afchar Nadéri mène depuis une quinzaine d’années une activité de photojournaliste parcourant le monde à la quête de récits et d’images rares et ses reportages l’ont mené tant dans les Caraïbes (Caïmans, Cuba, Floride), les Balkans (Bulgarie, Macédoine) et le pourtour méditerranéen (Égypte, Malte, Maroc) qu’au Proche- et au Moyen-Orient (Liban, Turquie, Bahreïn, Yémen), dans l’océan Indien (Djibouti, Maurice, Mayotte, Seychelles) et en Asie du Sud-Est (Indonésie, Malaisie, Philippines, Thaïlande).
Dans son activité la poésie et l’écriture ne sont pas distinctes de l’approche photographique

Spécialisé également dans la photographie sous-marine, il a effectué de nombreux reportages pour des magazines de plongée sous-marine (Océans, Plongée Mag, Subaqua, Apnéa…) que ce soit dans la mer des Caraïbes ou en mer Rouge, où il cumule dix-sept voyages, ou dans l’Atlantique Nord.

Depuis 1999, Reza Afchar Nadéri se rend tous les ans en Iran pour visiter à chaque voyage une province différente et constituer un fonds d’archives photographiques.
Tout en recueillant et en consignant par écrit les multiples impressions de « choses vues » destinées à de futurs récits ou poèmes ancrés dans la réalité de l’Iran et du monde contemporain.

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